A l’heure bleue

Pour s’immerger jusqu’au cou dans un champ de pastel en fleur

Avril

Une micro-aventure qui rebat les cartes des couleurs. Jugez plutôt : il s’agit de partir à la découverte de la culture et de la transformation d’une fleur jaune dont les feuilles vertes donnent le bleu qui fit la fortune de la Ville rose. Immersion totale les pieds dans les champs et les mains dans les cuves, qui n’oublie ni les fleurons architecturaux des grands hôtels pasteliers toulousains de la Renaissance, ni le plaisir d’une bonne bière en terrasse.
A l'heure bleue-Boudu-Rémi Benoit-Boudu

L’Aventuromètre

Profession pastelière

Voilà 20 ans que Sandrine Banessy a fait du pigment bleu son métier. Son histoire commence autour d’un ouvrage publié par ses soins :

J’avais déjà écrit sur les spécificités identitaires de Toulouse : la brique, la violette, et le pastel

MEMENTO

En plus de contenir deux précurseurs de la couleur bleue, la feuille de pastel sera votre meilleur sparadrap, puisqu’elle présente des vertus cicatrisantes.

Oubliez vinaigre et savon : le pastel ne tâche pas. Le pigment, à peine appliqué sur un tissu, résiste au lavage, contrairement à l’indigo.

Oubliez vinaigre et savon : le pastel ne tâche pas. Le pigment, à peine appliqué sur un tissu, résiste au lavage, contrairement à l’indigo.

On appelle les boules de feuilles de pastel séchées coques (ou coca, en occitan), terme qui a valu à la région toulousaine et au Lauragais voisin (grenier à pastel de la ville), le flatteur qualificatif Sandrine Banessy de Pays de cocagne.

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